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RechercherDerniers commentairesbonsoir, j'adore votre poésie, elle est spontanée, réfléchie sans doute et légère dans sa complexité, elle don
Par Anonyme, le 12.01.2025
oui
Par Anonyme, le 26.04.2024
j'ai lu ces poèmes, moi je dis que vous êtes un vrai poète.
Par Anonyme, le 29.12.2021
bien cher lauragael
i l fut un temps sur jepoeme je m'étais permis d'après votre poesie "pauvre pantin" d
Par Anonyme, le 27.09.2021
compliments, claude, ta plume est toujours prolifique et généreuse.
mady kissine
Par Anonyme, le 05.03.2021
· Pauvre pantin ....
· L'enfant silence
· MA POESIE
· Chassez la nostalgie
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Date de création : 10.12.2011
Dernière mise à jour :
22.09.2021
1578 articles
Une maison de bois sur le sable des dunes,
Quelques bouquets de thym que nous cueillions enfants,
L’insouciance, l’amour tenaient lieu de fortune
De ces vertes années que reste-t-il vraiment.
Tu me prenais la main, j’avais treize ans à peine
C’est un cliché banal qu’on rencontre partout,
Là-bas sur l’océan on voyait des baleines
Même si ça n’était que des tas de cailloux.
Quand il pleuvait dehors on trouvait une cache,
On s’y tenait au chaud on guettait le ciel bleu,
Nous étions des indiens, iroquois ou apaches
N’importe quoi c’est vrai, nous étions amoureux.
On se disait plus tard on prendra un navire,
On s’en ira là-bas où s’arrête la mer,
Oui mais avec le temps le temps bien des bateaux chavirent
S’est englouti le nôtre avant même l’hiver.
La maison n’est plus là, les dunes se font rares,
Le thym n’existe plus que dans les magasins,
Même l’amour a pris des allures bizarres
Comme s’il avait peur de se montrer soudain.
Pourtant moi, comme un fou, je continue mon rêve
S’il fallait le chalet je le reconstruirais,
Je cherche quelque étoile au hasard de la grève
Qui me parle de toi sur un air de regrets.