Thèmes

annonce cadeau coeur enfant fantastique fleurs fond hiver jardin jeux moi nuit

Rechercher
Recherchez aussi :

Derniers commentaires

bonsoir, j'adore votre poésie, elle est spontanée, réfléchie sans doute et légère dans sa complexité, elle don
Par Anonyme, le 12.01.2025

oui
Par Anonyme, le 26.04.2024

j'ai lu ces poèmes, moi je dis que vous êtes un vrai poète.
Par Anonyme, le 29.12.2021

bien cher lauragael i l fut un temps sur jepoeme je m'étais permis d'après votre poesie "pauvre pantin" d
Par Anonyme, le 27.09.2021

compliments, claude, ta plume est toujours prolifique et généreuse. mady kissine
Par Anonyme, le 05.03.2021

Voir plus

Articles les plus lus

· Pauvre pantin ....
· L'enfant silence
· MA POESIE
· Chassez la nostalgie
· Ma mère me disait

· L'oiseau blanc ...
· Arc en ciel bleu blanc rouge...
· Le parfum de ta peau ...
· Ça pleure pas, un homme ...
· Me connais-tu vraiment ...
· Masques et faux semblants ...
· Je ne suis pas poète ...
· Ca tient a rien
· Evasion ...
· Ni prolo ni bourgeois ..

Voir plus 

Statistiques

Date de création : 10.12.2011
Dernière mise à jour : 22.09.2021
1578 articles


Le parfum de ta peau ...

Publié le 01/12/2015 à 09:54 par lauragael
Le parfum de  ta peau ...

J’aimais tes yeux, ton corps, tout le reste il me semble,

Tu aimais mes bons mots et jusqu’à mes erreurs

Mais nous n’étions pas faits pour bien vieillir ensemble,

Qu’elle est dure à franchir la porte du bonheur.

 

Je t’avais fait le don de mes pauvres richesses,

Toi tu m’avais offert les plus tendres cadeaux,

Sans doute avons-nous craint que dame la vieillesse

Ne s’en vienne abîmer ce qui était si beau.

 

Nous avons mis au clou cette commune chaîne,

Libérés tous les deux pour un nouvel élan,

Toi vers quelque amoureux à qui conter ta peine

Et moi vers cet oubli dans la marche des ans.

 

Refermée à jamais la belle parenthèse,

Remisés au placard nos plus tendres baisers,

Les goélands toujours survolent la falaise

Notre couple est bien loin, qui les faisait chanter.

 

Les vagues en furie martèlent le rivage,

Souviens-toi de ce jour où tu m’avais dit oui,

Je n’apprécie plus tant le parfum de la plage

Mais celui de ta peau me hante, me poursuit