Thèmes

annonce cadeau coeur enfant fantastique fleurs fond hiver jardin jeux moi nuit

Rechercher
Derniers commentaires

bonsoir, j'adore votre poésie, elle est spontanée, réfléchie sans doute et légère dans sa complexité, elle don
Par Anonyme, le 12.01.2025

oui
Par Anonyme, le 26.04.2024

j'ai lu ces poèmes, moi je dis que vous êtes un vrai poète.
Par Anonyme, le 29.12.2021

bien cher lauragael i l fut un temps sur jepoeme je m'étais permis d'après votre poesie "pauvre pantin" d
Par Anonyme, le 27.09.2021

compliments, claude, ta plume est toujours prolifique et généreuse. mady kissine
Par Anonyme, le 05.03.2021

Voir plus

Articles les plus lus

· Pauvre pantin ....
· L'enfant silence
· MA POESIE
· Chassez la nostalgie
· Ma mère me disait

· L'oiseau blanc ...
· Arc en ciel bleu blanc rouge...
· Le parfum de ta peau ...
· Ça pleure pas, un homme ...
· Me connais-tu vraiment ...
· Masques et faux semblants ...
· Je ne suis pas poète ...
· Ca tient a rien
· Evasion ...
· Ni prolo ni bourgeois ..

Voir plus 

Statistiques

Date de création : 10.12.2011
Dernière mise à jour : 22.09.2021
1578 articles


Merci ...

Publié le 23/05/2015 à 11:18 par lauragael
Merci ...

Oublié ton prénom, pour moi tu fus la femme,

La femme qui m’offrit la chaleur de ses bras

Lorsque désemparé j’avais trop mal à l’âme

Et rêvais d’un soleil qui ne se montrait pas.

 

Oublié le papier qui tapissait la chambre,

La fenêtre sur cour d’où montaient des odeurs,

Lorsque tu dénouas tes cheveux d’or et d’ambre

Naquit un souvenir à jamais dans mon cœur.

 

Tu m’appris ce jour là tant de choses secrètes,

L’amour n’était pour moi qu’images d’Epinal,

Récits mal colportés qui trottaient dans ma tête

Photos mille fois vues aux pages d’un journal.

 

Sans doute je ne fus qu’un vulgaire anonyme

Bien plus près du bouffon que du grand conquérant,

Et si je n'atteins pas les portes du sublime

Je fis tout pour paraître un convenable amant

 

Femme qui sans pudeur consentis cette aumône,

Je te dois un merci au nom du temps passé,

Depuis toi, sache-le, lorsque je m’abandonne

C’est sur ta bouche encor que je pose un baiser.

Commentaires (2)

Anonyme le 12/06/2015
joli et nostalgique à la fois
Merci, je reviendrais te visiter, j'aime bien ta poésie
SOSTHENE


penseraimer le 19/06/2015
Splendide !Un quatrain sublime pour la fin du poème !
http://penseraimer.centerblog.net


Ecrire un commentaire